Meta Ads : les 10 erreurs les plus fréquentes (et comment les éviter)
Optimisez vos campagnes Meta avec Noacom : nos experts partagent les pièges à éviter pour une acquisition rentable et scalable en 2025.
Dans cet article, Noacom explique pourquoi il faut plutôt raisonner en ratio CAC / LTV, et comment structurer une stratégie publicitaire scalable et durable.
Chez Noacom, nous accompagnons des marques qui pilotent chaque jour leurs campagnes publicitaires. Et quel que soit leur niveau — débutant ou expert — nous constatons souvent la même erreur stratégique : le pilotage des campagnes à partir du ROAS.
Simple, lisible, parfois flatteur, le ROAS (Return On Ad Spend) semble rassurant… mais lorsqu’il devient le principal critère de décision, il peut sérieusement bloquer la croissance d’une entreprise.
Prenons une marque de cosmétique avec deux produits distincts :
Deux campagnes publicitaires Meta sont lancées :
À première vue, la campagne B paraît plus rentable, et la plupart des marques feraient le choix de la privilégier au détriment de la campagne A.
Mais ce serait une erreur stratégique majeure.
L’objectif d’une plateforme comme Meta est clair : faire entrer un maximum de nouveaux clients dans votre système marketing.
Oui, il est important de viser un coût d’acquisition (CAC) compétitif et d’optimiser le panier moyen dès le premier achat.
Mais ce qui compte le plus, c’est d’identifier les produits ou offres d’appel qui :
De nombreuses DNVB (Digital Native Vertical Brands) l’ont compris. Leur stratégie repose sur l’entrée accessible dans l’univers de la marque, avec des offres irrésistibles :
Ces dispositifs lèvent les freins à l’achat, améliorent les taux de conversion et réduisent mécaniquement les CAC.
La clé ensuite ? Une stratégie CRM solide pour convertir ces primo-acheteurs en clients fidèles.
Le ROAS se focalise uniquement sur la rentabilité immédiate (le 1er achat).
Mais une marque e-commerce performante se construit sur la valeur à vie du client (LTV).
Reprenons notre exemple :
Même si la campagne B a un meilleur ROAS, c’est la campagne A qui a le plus fort potentiel de scale.
Il vaut mieux un produit à 5 € avec une LTV de 50 €, qu’un produit à 50 € avec une LTV de 60 €, si le premier attire plus de clients pour moins cher.
Chez Noacom, nous aidons les marques à :
Le scale ne dépend pas du ROAS.
Il dépend de votre capacité à acquérir intelligemment, fidéliser efficacement, et répéter le processus à grande échelle.
Cet article vous a aidé à voir vos campagnes autrement ?
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À bientôt pour un nouveau conseil actionnable par Noacom
Optimisez vos campagnes Meta avec Noacom : nos experts partagent les pièges à éviter pour une acquisition rentable et scalable en 2025.
Ce guide signé Noacom vous montre comment recentrer vos efforts sur la vraie acquisition client.